Chez Extremis, nous fabriquons des meubles design exceptionnels depuis 1994 – et nous sommes extrêmement fiers de la qualité, de la créativité et de la durabilité qui les caractérisent. Pourtant, au fil des ans, nous avons dû faire face à un défi que nous nous sommes engagés à relever : l’activité foisonnante des « imitateurs » qui reproduisent nos designs uniques. Nous avons un peu l’impression de nous trouver face à une société secrète d’espionnage de l’ameublement... Mais nous sommes là pour remettre les pendules à l’heure.
Permis de copier
La valeur intrinsèque de la créativité
Dirk Wynants, notre fondateur et designer en chef, mesure à quel point la véritable excellence en matière de design va au-delà des matériaux et de la fabrication. Le lancement sur le marché d’un nouveau produit innovant exige des investissements substantiels en main-d’œuvre, en développement de prototypes, en marketing et en efforts commerciaux – le tout sans garantie de succès. Élaborer des idées nouvelles est le projet de toute une vie, et le fait de les concrétiser exige une somme conséquente de connaissances et d’expérience.
Mais une copie ne nécessite aucune créativité, garantit le succès et élimine toute prise de risque. Nous n’avons rien contre un petit emprunt de temps à autre, mais un peu de fair-play, n’est-ce pas ?
Le lancement sur le marché d’un nouveau produit innovant exige des investissements substantiels en main-d’œuvre, en développement de prototypes, en marketing et en efforts commerciaux – le tout sans garantie de succès
Protéger la propriété intellectuelle
Extremis adopte une approche proactive pour protéger sa propriété intellectuelle partout dans le monde, conformément à notre volonté de créer des produits intemporels et durables. Si dans le secteur de la mode, la multiplication des copies peut augmenter la valeur d’une marque, dans celui de l’ameublement, les choses fonctionnent différemment. Les entreprises qui plagient nos produits nous posent un défi de taille, car ces imitations dénaturent l’engagement inébranlable qui est le nôtre envers la qualité.
Récompensées par des prix prestigieux, nos créations sont réputées pour leur originalité sans pareille – ce qui les rend plus faciles à protéger contre les imitateurs. Les plagiaires s’exposent toujours à des conséquences juridiques et les tribunaux statuent systématiquement que leurs imitations doivent être retirées de la vente ou détruites. Pour autant, nous adoptons une approche responsable en matière de durabilité. La destruction de meubles parfaitement utilisables, même si ce sont des plagiats, ne correspond pas à nos valeurs.
Choisir la durabilité
Bien que la loi soit de notre côté, nous préférons une approche plus durable que la destruction des imitations. Après avoir obtenu le paiement d’une indemnisation, nous tolérons leur existence à condition qu’il soit clairement mentionné qu’il ne s’agit pas de créations authentiques Extremis, avec la mention « Ceci n’est pas un original Extremis ». Au lieu de rechercher juridiquement un « Permis de tuer », nous choisissons, dans le cadre de notre engagement pour la durabilité, de délivrer un « Permis de copier », à condition que la partie immatérielle de la création soit compensée et que l’infraction ne se répète pas.
Les créations Extremis ne sont pas seulement distinctives par leur apparence, elles sont également conçues jusque dans les moindres détails.
La garantie d’une pièce originale
Vous voulez avoir la certitude de disposer d’une véritable pièce Extremis chez vous ou pour votre projet ? Vous pouvez vous fier au logo caractéristique d’Extremis, au poinçon « gravé » dans le bois ou dans l’acier, ainsi qu’au badge d’identification.
Les créations Extremis ne sont pas seulement distinctives par leur apparence, elles sont également conçues jusque dans les moindres détails. L’absence de ces détails plus complexes révèle souvent une copie, comme le rayon de pliage des pieds et le bord incliné de la table de notre Hopper. Ces aspects uniques incarnent notre engagement à toujours viser l'excellence.
Vous avez des questions sur notre « Permis de copier » ?